LE MAHDI, SA VOIE : L’ULTIME ÉCHAPPATOIRE ET SOLUTION

2 décembre 2022 181 12

Les mariages groupés ou collectifs

Ce samedi 03 décembre 2022, la Communauté Layène s’apprête à célébrer des mariages dits collectifs ou groupés et selon les pratiques de la religion musulmane à Yoff Layène. Ceci comme à l’accoutumée durant les années passées. Ce sera à l’occasion de la Ziarra annuelle du Khalif des Layènes et la première sous le Khilafa de Seydina Mouhamadou Makhtar Lahi ibn Seydina Mandione ibn Seydina Limamou Lahi (psl).

C’est ainsi à cette circonstance que nous partageons avec vous ce post fait le 02 janvier 2021.

Dans la Communauté Layène, selon l’enseignement de l’Imam Al Mahdi (PSL), on donne en mariage toute personne de sexe féminin, partant des nouvelles nées aux femmes veuves, en passant par les filles jeunes et adolescentes.

Pour dire qu’en milieu Layène, le mariage est une pratique courante et facilitée pour plusieurs raisons :

pour Être en conformité avec les recommandations de Dieu,

pour s’éloigner de la fornication et de l’adultère.

pour combattre le célibat.

Ceci aussi d’après une visite guidée que le Prophète Seydina Limamou affectua en compagnie de l’archange Djibril qui l’avait amener dans les cieux, le Paradis… Cette Visite à l’au-delà au cours de laquelle, Seydina Limamou nous livre le constat selon lequel qu’il y’a absence au Paradis de quatre catégories de personnes. Ainsi il cita parmi ces dernières:

la fille ou femme non mariée ou célibataire.

Mais aussi d’après sa recommandation, le fondateur de la Communauté Ahloulahi, le Mahdi Seydina Limamou Lahi (PSL), dans son Sermon 1, ordonna le mariage des nouvelles nées en ces termes : « Je vous recommande de circoncire les jeunes garçons et de marier les jeunes filles, car la mort vous cherche à chaque instant. Or la mort est un lot réservé à tout vivant. Dieu le Très Haut a dit : « Toute âme goûtera la mort » (Coran, chapitre 3, verset 185).

Pour ce qui est du mariage des nouvelles nées en milieu Layène, il est célébré le jour même du baptême de la fille après l’avoir donnée un prénom, aussitôt après est célébré le mariage de la petite fille nouvellement baptisée selon les règles de la religion musulmane comme cela se fait avec les couples adultes.

Dans le futur, ce mariage pourra continuer s’il y’a amour entre le garçon et la fille unis, au cas contraire avant que la fille soit promise à un autre garçon (homme) pour un quelconque mariage, celui du baptême est arrêté au préalable.

Ce mariage des nouvelles nées est une méthode d’éviter le copinage et le concubinage qui font de nos jours d’énormes victimes et dégâts sexuels.

Pour le remariage des femmes veuves, du temps de Seydina Limamou jusqu’à l’époque de son successeur Seydina Issa Rouhou Lahi (Paix et Salut sur Eux), une maison était dédiée aux veuves qui venaient de perdre leur mari. Cette résidence qui était dénommée « JAATOURÈN » (qui vient de JATOÙR en wolof = veuve) leur servait de lieu de séjour jusqu’au terme du délai de veuvage, c’est à dire 4 mois et 10 jours à partir du décès de leur mari, que le mariage soit consommé ou pas et qu’elle soit majeure ou pas selon la parole du Très-haut Allah le Tout-Puissant.

Le Coran dit à ce propos:

وَالَّذِينَ يُتَوَفَّوْنَ مِنكُمْ وَيَذَرُونَ أَزْوَاجًا يَتَرَبَّصْنَ بِأَنفُسِهِنَّ أَرْبَعَةَ أَشْهُرٍ وَعَشْرًا فَإِذَا بَلَغْنَ أَجَلَهُنَّ فَلاَ جُنَاحَ عَلَيْكُمْ فِيمَا فَعَلْنَ فِي أَنفُسِهِنَّ بِالْمَعْرُوفِ وَاللّهُ بِمَا تَعْمَلُونَ خَبِيرٌ

« Et ceux d’entre vous qui meurent en laissant des épouses, celles-ci doivent observer une période d’attente de quatre mois et dix jours. Passé ce délai, vous ne commettez pas de péché pour ce qu’elles font d’une manière convenable pour elles-mêmes (conformément à l’usage). Allah est Parfaitement Connaisseur de ce que vous faites ». (Coran,2:234)

Après cette période de veuvage, nous dit-on, ces femmes sont données en mariages à d’autres hommes, aussitôt possible. Ceci pour avoir une société sans célibataires et surtout pour être en conformité avec les recommandations divines et aux enseignements du Mahdi.

Pour ce qui concerne le mariage des filles jeunes ou adolescentes, depuis plusieurs décennies maintenant, des mariages dits collectifs ou groupés sont organisés constamment. Et depuis quelques temps ce procédé se fait avec une périodicité annuelle et ceci lors du Ziaara dédié au Khalif des Layènes.

À signaler que ces mariages groupés se font selon la charia de la religion musulmane, la farata, la sounna du Prophète, l’amour du couple et l’accord des parents.

C’est ainsi, en ce samedi 03 décembre 2022, des mariages seront scellés selon les pratiques de la religion musulmane à Yoff Layène.

Tous ces mariages en milieu Layène, ceux des :

️Mariages des nouvelles nées;

Mariages annuels groupés des filles ou femmes;

Mariages des femmes veuves (du temps du Mahdi et de Seydina Issa Rouhou Lahi)

constituent une protection et barrière, barrage sûres contre les déviances sexuelles, l’homosexualité, une mauvaise orientation sexuelle, la fornication, la prostitution, la délinquance sexuelle…

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Et au vu et su de l’actualité nationale avec l’imposition des organismes internationaux comme l’UNESCO d’une éducation sexuelle dans nos écoles, la méthode et l’enseignement de l’Imam Al Mahdi constitue l’unique et la seule réponse face ces agissements et aux plans du diable Iblis, le lapidé, le maudit. Que Dieu nous préserve d’eux.

Ainsi ces mariages chez la Communauté Layène constituent un très bon moyen d’empêcher le doute sexuel que les alliés d’Iblis veulent imposer dans le monde à travers leur éducation sexuelle.

Plan International et UNICEF mènent une lutte acharnée contre le mariage précoce. Et pendant ce temps, un autre démembrement de l’ONU, ONUSIDA à travers des associations, distribue et fait la promotion des préservatifs dans les milieux scolaires et auprès même de ces adolescentes.

La grande question est: quel leur projet?

La grande réponse est : pervertir le monde et soumettre les hommes à Satan.

Que Dieu nous protège d’Iblis, de ses enfants, alliés et adeptes.

Salàtou wa salam enlà Nabil Moustaphà Seydina Limamoul Mahdiyou léeram ya niooraw you janta bi.

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