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AMER TAHA : « Seydina Limamou est le Rassoul (psl) »

today15 mars 2023 668 13

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« C’est manquer de discernement que de ne pas accepter l’évidence »

L’affaire concernant les « Messies du Sénégal », à savoir le retour de Mouhammad ayant pour Fils Seydina Issa al Massih ibn Mariam est en train de prendre de plus en plus d’ampleur. Vu sous le prisme de preuves irréfutables qui ne cessent de s’accumuler, il est toutefois remarquable de constater que celui, pour citer Jésus, dont on ignorait le Père, et celui, pour citer Mohammad, dont on s’est longtemps posé la question sur sa postérité et sa progéniture mâle, fassent leur réapparition dans une parousie commune.

Ainsi, la promesse coranique qui fait état d’une détestation du Prophète ou qui va à l’encontre de ce dernier, sera exposée aux conséquences d’être sans postérité, terme que le Coran rend par le vocable « ABTAR » : « celui qui te hait sera, certes, sans postérité. » S 108 V 3

En clair, si quelqu’un est sous la menace d’une pareille sentence, de surcroît divine, c’est qu’elle concerne le reste du monde hormis le Prophète. Il apparaît, à travers cette terminologie, la réalisation succincte d’un projet divin : celui d’octroyer au Prophète, à l’avenir, d’une postérité mâle. Et quelle meilleure progéniture que d’avoir pour descendant direct Issa al Massih ibn Mariam alias Seydina Issa Rouh Allah ! Enfin, ce projet a vu le jour ici au Sénégal et apparemment ça n’émeut personne. Tout aussi logique que pour que Jésus soit, il faut que le Mahdi, son père, soit aussi.

Jésus n’a pas manqué de le souligner dans une déclaration que vous ne verrez jamais dans les évangiles canoniques, sauf qu’en lisant un livre, je suis tombé par hasard sur cette parole pleine de bon sens, sortie de la bouche de Jésus. Cette parole sera reproduite mais il faut venir au contexte, à savoir qu’est ce qui porta Jésus à faire cette extraordinaire confession. Une question lui est posée par ses disciples qui tenaient à s’informer de son retour imminent : « A la question posée à Jésus «Combien d’années encore ? », celui-ci répond : « Lorsque la cent cinquantième année sera terminée, dans les jours de la Pentecôte et de la Pâque, se produira l’avènement de mon Père. » L’EPITRE DES APÔTRES.

Extraordinaire qu’est là cet aveu du Christ ! Il nous dit que son retour n’aura lieu qu’avec l’arrivée ou la venue de son père. Ce sont les termes qu’emploient (l’arrivée, la venue) le dictionnaire pour expliciter le sens même de l’AVENEMENT. Et seule l’histoire des Messies du Sénégal reflète le mieux cette rhétorique. Cette déclaration du Christ est la synthèse même de ce qui s’est produit sous nos cieux.

Il est stipulé dans ce même livre que des auteurs ecclésiastiques annonçaient le retour de Jésus vers l’an 180, à savoir qu’un jour représente une année prophétique, ce qui nous ramène vers l’an 800, non loin de l’année 1876 où renaissait Jésus. Dates préfigurant le compte à rebours de la fin des temps. Raison pour laquelle, les messies furent nommés Les Messies des fins dernières. Leur manifestation eut lieu à des périodes troubles de notre histoire et jusqu’à leur disparition, les choses n’ont cessé de s’empirer. Si le chiffre 1260 fut évoqué dans l’apocalypse de Jean c’était sans doute pour nous éveiller et à prendre conscience de la venue du Mahdi dont la parousie eut lieu en l’an 1261. Et ce n’est pas rien.

Dans les prophéties de Daniel, on y lit également des chiffres qui, somme toute, sont proches de ressembler à des évènements que nous, layènes, maîtrisons parfaitement. Il faut rajouter que le livre de Daniel est très évocateur en ce qui concerne le messianisme et l’eschatologie.

Voilà ce que dit le passage concernant les Prophéties de Daniel. « Depuis le temps où cessera le sacrifice perpétuel et où sera … dévastateur, il y aura 1290 jours. Heureux celui qui attendra et arrivera jusqu’à 1335 jours »… (un jour prophétique pouvant être égal à une année) Dn 12 :11-12

Le dévastateur dont il s’agit ici n’est autre que l’Antéchrist et qui dit Antéchrist pense immédiatement au Christ qui selon la tradition devrait le combattre et le vaincre. Fort de ces éléments, 1290 est à rapprocher de l’an 1294 de l’hégire où Jésus a vu le jour une seconde fois. 1290 est aussi le miroir de 129 qui n’est pas sans rappeler la somme des deux âges du Prophète
(63 + 69 = 129). Tout aussi qu’il faille retenir que 1290 est aussi le miroir de 1920, date qui rappelle le fameux cachet métallique que Seydina Issa Rouh Allah (psl) avait reçu de La Mecque.

D’ailleurs, 1335 évoqué dans le Livre de Daniel est à rapprocher de 1339, indication chiffrée figurant sur le cachet métallique. La conversion de 1335 nous ramène en année grégorienne à l’an 1917, date à laquelle apparaissait la Vierge Noire à Fatima au Portugal.

Pour couronner le tout, c’est en 1917 qu’eut lieu la Déclaration de Balfour qui stipule la création d’un foyer national juif. Rappelons que la Déclaration de Balfour est une lettre qui a été rédigée le 02 novembre 1917 ; le 02 novembre, le jour et le mois qui nous rappelle le décès de l’Imam al Mahdi Seydina Limamou Lahi (psl) ; retour vers son Seigneur qui eut lieu le 02 novembre 1909 exactement. Or, on sait, selon le messianisme juif qu’il fallait réunir certaines conditions pour qu’apparaissent les Messies.

Parmi celles-ci, le rassemblement des nations juives autour de leur soi-disant terre promise, la Jérusalem tant convoitée. Encore une fois, seules les Messies du Sénégal se sont attribué le droit d’accomplir cette prophétie pour que soit instaurée définitivement le Royaume de Dieu.

Or, on sait, Ô combien Cambérène y ressemble en tout point. C’est en 1948 que sera créé l’Etat d’Israël, un an plus tard, c’est-à-dire en1949, Jésus (Seydina Issa Rouh Allah (psl)) rejoindra son Seigneur. Pour être plus précis, le 21 août 1949. A défaut de posséder une Jérusalem occupée, centre névralgique de toutes les tensions qui s’affairent autour, Seydina Issa Rouh Allah (psl) nous légua durant son règne, la Jérusalem Céleste telle qu’enseignée par les traditions occidentales.

L’an 1917 est donc une année charnière ou vraisemblablement peut débuter dans les esprits la crainte des derniers temps, ainsi que le « Jour du Seigneur. » Jésus le fait si bien entendre lors qu’il présage : « Ce jour et cette heure, nul ne les connaît, ni les anges des cieux, ni le Fils, personne sinon le Père, et lui seul » (Mt 24, 36).

Vus les bouleversements que traverse ce monde, ne serait-il pas temps de se demander s’il y a raison d’attendre encore quelqu’un d’autre. Lorsque Jésus parle de l’avènement de son père, icelui donne à cet événement une dimension anthropomorphique, donc qui n’a rien à voir avec Dieu. Ce constat corrobore parfaitement à la tradition qui dit : « en effet, lorsque Jésus (psl) retournera dans ce monde, il rencontrera le Prophète. Que Dieu lui accorde la grâce et la paix sur terre » (SUYYUTI, Le Retour de Jésus, p. 57).

Tout compte fait, il n’y a qu’au Sénégal que ce sont produites ces choses. Allez savoir si le Pater Noster qu’enseignait Jésus à ses disciples ne faisait allusion à Mohammad son Père ! Ce sujet sera amplement développé dans une autre parution. Pour l’heure, il s’agit d’accroître les preuves que Seydina Limamou Lahi (psl) est le Prophète et de démontrer que Mohammad est Seydina Limamou Lahi, le Mahdi (psl), que l’on attendait.

Si 59 est le poids mystique de MAHDI, 92 est le poids mystique de MOHAMMAD, selon l’arithmologie. Par manipulation des nombres, telles les années de naissances du Prophète (570) et de décès du Prophète (632), ainsi que les années de naissance du MAHDI (1261) et de décès du MAHDI (1327), il en ressortira la preuve mathématique que l’un et l’autre sont une et même personne.
1261 – 570 = 691 – 632 = 59 (poids mystique de MAHDI)
1327 – 570 = 757 – 632 = 125
Le rapport 59 + 125 = 184 (cent quatre-vingt-quatre, c’est deux fois Mohammad) 184 : 2 = 92 (poids mystique de MOHAMMAD)

C’est manquer de discernement que de ne pas accepter l’évidence même de cette preuve tangible et percutante. Nous aurions beau apporter d’avantage, mais certains réfractaires, par pêché d’orgueil ne voudront jamais ouvrir les yeux. Le message de Jésus aux Pharisiens est toujours d’actualité lorsqu’il lançait : « Je suis venu au nom de mon Père et vous n’avez pas voulu me recevoir » Jn 5, 43.

Si Blanc, il fut l’objet de tant de frustrations, les clivages aujourd’hui autour de sa noirceur, Noire comme l’obscurité, feront-ils évoluer les mentalités vers la lumière, cette lumière que nous promettait Al Massih Issa Ibn Mariam alias Seydina Issa Rouh Allah : « Je suis la lumière du monde. Celui qui me suit ne marchera absolument pas dans les ténèbres, mais possédera la lumière de la vie » Jn 8, 12

Amir TAHA

Écrit par: soodaan3

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